L’ostéoporose est devenue un problème de santé publique et fait désormais l’objet d’une journée mondiale qui lui est consacrée chaque 20 octobre.

Quand j’avais 46 ans, juste avant de faire ma fracture du bassin et être diagnostiquée ostéoporotique, j’étais loin de me douter que plus d’une décennie après, cette journée du 20 octobre allait me ramener, chaque année, à de douloureux souvenirs.

Si ces souvenirs sont douloureux, c’est qu’au moment où j’ai reçu le diagnostique de l’ostéoporose, il y a plus de 10 ans, celui-ci m’a été donné avec beaucoup de brutalité et une totale absence de bienveillance et à ce moment-là j’étais perdue, ne sachant que mettre en place.

Depuis je suis devenue naturopathe et j’ai fait le choix de prendre mon bien-être en main et d’accompagner les femmes ostéoporotiques en période de pré-ménopause, ménopause et post-ménopause.

• parce qu’il s’agit d’une pathologie sournoise et silencieuse. L’ostéoporose ne fait pas mal et elle est souvent découverte à l’occasion d’un contrôle préventif (avec la pratique de l’examen de l’ostéodensitométrie osseuse) au moment de la pré-ménopause ou de la ménopause chez la femme.
• parce qu’elle majore le risque de fractures et qu’il peut s’agir de fractures grandement invalidantes.
• parce que cette maladie génère un sentiment de culpabilité.
• parce que les médicaments proposés pour lutter contre la perte de densité osseuse peuvent avoir des effets secondaires importants

La base de mon accompagnement est l’optimisation du terrain soit du corps dans sa globalité en revisitant l’hygiène alimentaire, l’hygiène émotionnelle et l’hygiène physique adaptées à chaque femme qui le souhaite.

L’alimentation étant notre principal carburant, la façon de manger occupe une place centrale quand on s’intéresse à soutenir le tissu osseux sur un terrain ostéoporotique.

Je propose quelques grandes lignes de l’alimentation amie du squelette dans mon article pour le magazine Entreprendre publié à l’occasion de la journée mondiale de l’ostéoporose.